L’enfant est un facteur limitant

à la culture. Ne me dites pas le contraire : avec un ou plusieurs enfants lire devient un véritable challenge. Je ne parle même pas de sortir au théâtre ou ciné, projet qui demande l’énergie et le sens d’organisation d’une agence d’évènementiel. Bref autant l’avouer, en ce moment je lis peu, voire pas et les livres s’amoncellent sur la commode qui me sert de table de chevet. Mais ce week-end grâce à la ponctualité d’Easy Jet (3 heures de retard) j’ai pu dévorer pas un mais bien deux livres…. Ö joie ! Enfin surtout le premier. Petit compte rendu de lecture


Journal d’un corps *****de Daniel Pennac . Au départ on se demande où on va : un homme lègue à sa fille un journal intime dans lequel il a annoté tout au long de sa vie ses sensations corporelles, ses maladies, ses angoisses. Puis on se laisse prendre . On est dans l’intime, on parle de choses qui restent souvent tabou et qu’on passe sous silence. Le vieillissement du corps y est montré sans fioriture . Pennac nous montre là la vie, et à travers ce livre nous parle de l’évolution de nos corps qui nous accompagnent de l’enfance à la mort. Un livre universel.


Le 2éme était un livre conseillé par Le masque et  la plume:  Zénith-Hôtel *de O. Coop-Phane qui à travers le journal d’une prostituée devait nous proposer des portraits d’hommes en perdition. Bon je l’ai terminé parce que c’était ça ou le guide duty-free de l’avion mais je suis passée complétement à côté je crois.