Si Perec a réussi à faire disparaitre le « e », je serais bien incapable de faire disparaître le « i » de ma vie. Cette voyelle y est, tout à tour, minuscule, MASJUCULE, italique, parfois même exotiques :« y » pour les hellénistes ou « ee » pour mes amies anglophones.
Le i et son petit point faisait déjà parti de ma vie avant de le croiser au détour d’un magnifique point en suspension. La tribu féminine de Maison Bastille avait, en effet, une affection toute particulière pour cette lettre : Marie, Lucie, Sybille et Alice : le i nous collait à la peau, alors que les hommes de la maisonnée lui préféraient des lettres plus masculines comme le U ou le A : Paul et Emmanuel.
Depuis quelque mois, pourtant, un autre i est entré dans ma vie.
Un i virtuel mais MAJUSCULE.
Un i comme inspiration, idées, imagination...
Merci Lisa
Un i virtuel mais MAJUSCULE.
Un i comme inspiration, idées, imagination...
Merci Lisa
Quel joli billet pour Lisa !
RépondreSupprimerJ'ai aussi ma petite tribu de i! C'est moi l'intruse...
RépondreSupprimeroh mille mercIs à toi MarIe, tu me ravIs !!!
RépondreSupprimerque c'est jolI !!! mais moi j'ai pas de I dans mon prénom, tu m'acceptes qd même MarIe ??? moi qui aurait tellement voulu m'appeler MarIe !
RépondreSupprimerAh quel joli billet ici aussi, je me délecte;)
RépondreSupprimerjoli billet!
RépondreSupprimerCa va lui faire chaud au coeur à Lisa...
RépondreSupprimerC'est vraiment bien écrIt et bien dIt !!
RépondreSupprimerIrrésIstIble I !
RépondreSupprimeravec tréma pour ma fIlle,
tout sImple pour mes hommes
que nennI pour moI..